A l'origine, il y eut une idée,

    l'envie d'offrir au pianiste la possibilité d'un instrument de musique. J'ai grandit dans la musique, commencé le piano à 5 ans. J'ai découvert les capacités de cet instrument à 19 ans lors de mon départ de la région pour entrer en apprentissage.

   Pour obtenir un timbre, une couleur de son, ce n'est pas d'un simple accordeur dont l'apprenti pianiste à besoin, c'est d'un technicien capable de comprendre la subtilité d'un touché, d'un enchaînement mécanique menant le bout d'un doigt à une couleur acoustique.

     Depuis bientôt 20 ans, je m'efforce donc d'aller chercher la voix du piano. Et, si cela passe par l'accordage, la recherche des harmoniques par l'écoute et l'oreille attentive, la mécanique a toute son importance. Son réglage fin permet le contrôle du marteau à la corde, le confort du touché par sa régularité, et une frappe nette pour un son droit.